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La Sagesse du Nonsense (Partie 7)

Chaque humain a des besoins de base. La base des bases, ce sont les besoins physiologiques qui assurent la survie de tout être humain. Sans cela, tu ne vas nulle part.



Ces besoins doivent être comblés en priorité pour que les individus puissent se concentrer sur des besoins plus élevés, tels que la sécurité, l’appartenance ou la réalisation de soi. Si ces besoins fondamentaux ne sont pas convenablement satisfaits, une personne est vouée à disparaître (ou à détruire notre environnement collectif pour pouvoir survivre), et cela peut arriver très rapidement.



Naturellement, la vie est bien faite.



Quand tu nais, la Terre est déjà capable de subvenir à tous tes besoins de base sans que tu aies à faire quoi que ce soit. La Terre et la Nature t’offrent gratuitement et en abondance tout ce dont tu as besoin pour survivre.



La base des bases est déjà fournie et t’est offerte gracieusement par notre environnement commun : notre mère Terre, ou notre système partagé. Tout le monde y a accès de manière égale et (normalement) ces besoins devraient être gratuits et facilement accessibles pour chacun dans une société mature, logique et responsable.



Maman Nature aime tous ses enfants pareillement, au moins pour les faire survivre.



Pour le reste, tu deviens ton propre maître et tu crées ta propre vie afin de satisfaire tes besoins additionnels et devenir un adulte responsable, au service de ta communauté. Le reste, en réalité, c’est ton problème. Comment apprendre à te sentir en sécurité, aimé ou au service des autres est ton propre cheminement personnel.



Cependant, tu auras probablement besoin des autres humains, eux-mêmes en bonne santé et capables de survivre, pour t’aider à satisfaire ces besoins additionnels de manière sécuritaire, cohérente et efficace. Tu auras toujours besoin de l’autre pour trouver du plaisir à vivre et à évoluer. Et si l’autre est heureux et en bonne santé, votre évolution commune sera bien plus agréable pour tout le monde.



Penses-y une seconde. Investir dans le bien-être de l’autre est en réalité le meilleur investissement pour toi-même. Plus l’autre progresse dans sa propre pyramide des besoins, plus loin tu pourras avancer dans la tienne. Plus l’autre évolue, plus tu peux évoluer aussi.



Ton bonheur, ta santé et ton accomplissement personnel sont directement interconnectés avec le bien-être de l’autre.



Cet "autre", c’est l’humanité entière.



L’autre peut être n’importe qui, même quelqu’un que tu ne connais pas personnellement. Mais s’il y a au moins une personne dans ce monde qui meurt parce que ses besoins physiologiques ne sont pas comblés, tu es le premier à en souffrir et à perdre quelque chose de précieux.



Le droit à la survie d’autrui n’est négociable pour personne. C’est la base des bases, et honnêtement, cela ne devrait jamais être remis en question. Peu importe qui est l’autre, ce n’est pas à toi de décider pour sa vie ou de facturer sa survie.





Alors, quels sont ces fameux besoins physiologiques ?



Ces besoins incluent :



1. Respiration : Accès à un air propre et de qualité.


2. Nourriture : Accès à une alimentation suffisante pour fournir l’énergie nécessaire au fonctionnement du corps.


3. Hydratation : Besoin d’eau potable pour rester hydraté et maintenir les fonctions corporelles.


4. Sommeil : Repos suffisant pour régénérer le corps et l’esprit.


5. Élimination : Excrétion des déchets corporels pour maintenir l’équilibre interne.


6. Régulation de la température corporelle : Accès à des vêtements, une maison ou des conditions environnementales adaptées pour éviter les extrêmes de chaleur ou de froid.


7. Reproduction : Satisfaction des besoins liés à la sexualité pour la survie de l’espèce, bien que ce besoin soit parfois moins pressant au niveau individuel.



...



C’est simple et direct, en vérité.



On parle d’air propre, d’eau potable, d’une toilette, de nourriture saine et accessible, de vêtements, et d’un abri pour se protéger (et idéalement d’une autre personne pour éventuellement se reproduire, bien que cela ne soit pas obligatoire si tu t’en fiches).



Ces besoins n’ont jamais changé depuis que l’humanité existe.



Ils sont les mêmes aujourd’hui qu’hier et que depuis toujours. Jusqu’à présent, nous avons survécu parce que nous avons su satisfaire ces besoins vitaux de façon très simple et très peu couteuse. Et, avant même l’existence de la civilisation ou de l’argent, l’être humain était déjà assez ingénieux, créatif et débrouillard pour y parvenir.



La Nature, de son côté, a toujours été là pour lui offrir tout ce dont il avait besoin, de manière inconditionnelle, afin qu’il puisse vivre dans la joie, la paix et l’amour.





Nous avons survécu jusqu’à maintenant, c’est vrai !



Mais aujourd’hui, presque plus personne sur Terre n’a un accès facile à une eau véritablement propre, à une nourriture saine ou même à un air respirable. Je ne parle même pas de vêtements de qualité ou d’un abri simple pour se protéger des éléments. Tout cela est devenu un luxe de plus en plus rare.



Même si la Nature l’offre gratuitement, il semblerait que ce n’est pas chaque humain qui a le "droit" de respirer, boire, manger ou être logé décemment. Apparemment, il faut d’abord se mettre au service des autres, travailler très dur, et gagner ce "privilège" avant de pouvoir survivre.



Cela n’a aucun sens, mais tout le monde semble s’en foutre.



Nous prenons littéralement en otage les besoins physiologiques d’une personne pour qu’elle vive dans la peur de ne pas survivre, puis nous lui demandons d’atteindre le sommet de sa pyramide personnelle, d’être épanouie, et de servir désintéressément sa communauté. Et après, nous nous étonnons que le monde devienne fou et malade ?



Réalisons-nous à quel point il est illogique de priver quelqu’un de ce dont il a besoin pour garantir sa survie ?





D’accord, la vérité est que je ne suis ni psychologue, ni sociologue. Donc, je suppose qu’il y a des personnes dans ce monde qui pourraient expliquer cette logique de survie humaine, pourtant déjà assez simple, beaucoup mieux que moi.



J’ai étudié en sciences et en génie. Donc, je vais maintenant parler de l’industrie, de la connaissance et du nonsense systémique qu’on sait si bien co-créer pour s’enrichir avec de l’argent fictif, en vendant l’eau, l’air, le sol et la Nature aux autres humains.



On a presque volé la nourriture et l’abondance des autres pour maintenant pouvoir la vendre sous forme « d’aide humanitaire » aux mêmes peuples qu’on a abusés et volés auparavant. Ça aussi, il faut savoir le faire.



On a littéralement créé un système économique mondial où on vole aux autres populations ce que la Nature leur avait offert pour survivre et vivre (souvent en les abusant en même temps), et après, on se prend pour des « gentils sauveurs » en leur vendant une nourriture toxique et de l’eau embouteillée dans du plastique venant d’une usine très questionnable d’un autre continent.



Le vrai ridicule et le réel absurde dans toute cette histoire de notre humanité sont énormes.



Tu ne devrais pas leur envoyer tes déchets industriels sous forme de « nourriture » ni ton eau empoisonnée au microplastique pour aucune raison. Tu devrais les aider à nettoyer leur propre eau, leur propre air, leur propre sol, et à planter des jardins abondants où ils peuvent normalement se nourrir et se loger, sans avoir besoin de ton argent très corrompu ni de ton « aide humanitaire » très questionnable.



Tu devrais les aider à retrouver ce que la Nature et notre Humanité leur a déjà donné avant même que tu existes, et non leur « offrir » ce qui remplit encore plus tes propres poches.



Tu devrais leur rappeler ce qu’ils savent déjà faire dans leur propre sagesse et culture locale, et non leur vendre tes peurs très exotiques et tes propres croyances limitantes. Tu devrais les supporter et les encourager à réellement vivre, et non rendre leur survie encore plus difficile et souffrante.



Tu devrais même apprendre d’eux comment être véritablement libre, au lieu de les forcer à devenir des esclaves d’un système complètement absurde comme le tien. Avant de t’occuper des problèmes des autres et d’envoyer tes retraites là-bas, assure-toi d’abord que ta propre population ait un réel accès libre et facile pour combler ses besoins fondamentaux et simplement survivre.



Aide ton propre peuple à réclamer ses droits authentiques sur ce que la Nature leur offre déjà gratuitement et facilement.



Purifie l’air que tes voisins respirent à cause de tes usines qui ne sert à rien. Nettoie réellement l’eau naturelle que ton peuple boit. Régénère en profondeur le sol sous tes pieds pour qu’il puisse nourrir tes propres enfants demain. Offre des logements abordables et accessibles pour que ton peuple ne passe pas 80 % de leur salaire en loyer ou en hypothèque.



Prends véritablement soin, au moins, des besoins physiologiques de ton propre peuple.



Arrête de leur vendre leur propre terre, leur propre santé et leur propre richesse. Arrête de les faire souffrir autant juste pour qu’ils puissent survivre.





On va parler encore plus « localement ».



Souvent, les gens pensent que je suis un peu trop « déconnectée » de la réalité avec mes idées de transformations radicales et d’innovations systémiques dans le monde. Mais si vous trouvez que je suis intense, vous n’avez encore rien vu.



Est-ce que vous savez qu’il existe, ici même au Québec, des communautés entières qui vivent de manière autonome, satisfaisant tous leurs besoins de base – et même plus – sans argent ni l’aide du système ?



Ces communautés ont déjà réapproprié leur pouvoir collectif et ce que la Nature leur offre.



Elles vivent dans une véritable abondance, en souveraineté personnelle et même collective (du moins entre eux). Et beaucoup de ces personnes n’ont même pas besoin de travailler, parce qu’elles ont déjà un accès simple et authentique à tout ce dont elles ont réellement besoin.



Elles sont en santé, heureuses. Elles ne passent pas leur vie à survivre, mais à vivre pleinement et consciemment.



Là, je vais peut-être briser quelques illusions.



Certaines personnes pensent que ceux qui vivent sans argent ou simplement le font parce qu’ils sont pauvres, qu’ils n’ont pas le choix.



Eh bien, c’est là que vous vous trompez souvent.



Les personnes qui vivent ainsi font partie des plus intelligentes et sont souvent très éduquées. La majorité de ceux que je connais, qui vivent aujourd’hui presque sans argent et en harmonie avec la Nature, sont d’anciens médecins, ingénieurs, chercheurs, ou encore des figures sociales respectées.



Pourtant, ils ont choisi de tout quitter : l’argent, les titres, le prestige. Ils ont décidé de vivre de la terre, en communauté, simplement et naturellement.



Ils affirment même qu’ils se sentent plus utiles à l’humanité et à la planète dans ce mode de vie qu’en occupant leurs anciens postes prestigieux dans les grandes villes.



Ils n’ont presque pas d’argent, mais ils sont souvent en parfaite santé, heureux et véritablement au service des autres. Curieux, non ?



C’est, en fait, très inspirant de voir que c’est possible, que ça existe, ici, localement, chez nous.





Mais tout cela est toujours plus beau et plus simple sur papier.



Avant que les citadins se précipitent pour acheter des bouts de forêt et réaliser leur rêve de vie sans argent ni travail, il faut aussi comprendre les réalités auxquelles ces communautés font face. Même si, en théorie, cela semble simple et évident, ce ne l’est pas dans le système actuel.



Autrefois, il suffisait d’une dizaine de voisins motivés et de quelques arbres pour construire une maison décente en quelques mois, dans certains cas même en quelques jours seulement.



En réalité, construire une maison écologique et seine est d’une simplicité incroyable. En théorie, cela pourrait se faire gratuitement.



Les arbres poussent sur la terre, et la terre ne demande jamais à être payée pour ses ressources. Elle donne tout gratuitement, à condition qu’on ne soit pas trop idiots dans notre manière de les utiliser.



Si l’on respecte ses cycles naturels de production, les ressources deviennent infinies.



En collaborant avec la biosphère – au lieu de la détruire sans raison – nous pourrions collectivement accéder à l’abondance et garantir une régénération continue de ses ressources. En consommant en cohérence avec les rythmes de la Nature, nous pourrions tous être véritablement riches, en santé et heureux.





Revenons à notre maison.



Les ressources naturelles et humaines nécessaires pour construire une maison de qualité sont minimes comparées au coût actuel et à l’effort collectif qu’on y met.



Aujourd’hui, quand tu achètes une nouvelle maison, tu ne paies ni la personne qui l’a construite, ni les matériaux.



Tu paies surtout le système.



Tu paies des ingénieurs en cravate pour « réviser » le code du bâtiment, enrichissant ainsi les entreprises de ciment et de plastique. Tu finances les syndicats, les études scientifiques inutiles, les assurances absurdes et une tonne d’autres choses dont ni toi ni ta maison n’avez réellement besoin.



Près de 80 % du coût d’une maison correspond à cette bureaucratie et à la chaîne de valeurs qu’imposent des gens loin du terrain.



Les ouvriers qui bâtissent ta maison sont payés des miettes, et la terre, qui fournit généreusement ses ressources, n’est pas rémunérée non plus.



Mais en construisant une maison aujourd’hui, même dans la forêt, tu rends le système et les villes plus riches et tu crées des jobs de très grande ‘’qualité’’.



Indirectement, tu finances des emplois complexes, coûteux, des usines internationales, et des bureaux high-tech juste pour réaliser ce qui devrait être très simple : bâtir une maison dans la Nature.





Oui, tu peux être rebelle et t’en foutre du système.



Aujourd’hui, tu peux encore bâtir une maison sécuritaire, fonctionnelle, saine et durable avec tes voisins pour moins de 10 000 $ si tu es vraiment motivé.



Mais, si la ville ne détruit pas ta maison sans préavis un beau jour (parce que l’assurance ne t’aime pas trop), tu risquerais tout de même beaucoup d’amendes financières, des poursuites judiciaires contre ton propre gouvernement, et tu peux même te ramasser en prison si tu fais ça.



Donc, même si c’est possible de se loger pour très peu et très facilement pour de vrai, on préfère quand même financer le nonsense du système, juste pour avoir une paix d’esprit nous-même.



On paie les factures inutiles qui ne font aucun sens, juste parce qu’on n’a pas envie de s’obstiner avec le nonsense du système actuel.



On dit que c’est plus simple de juste payer et de se fermer la gueule, que d’essayer de comprendre logiquement ce pourquoi on paie au juste et ce qu’on crée avec notre propre argent pour de vrai.



Le nonsense systémique et ses incohérences sont énormes pour la construction d’une nouvelle maison. Avec la facilité et la simplicité que ça prend pour avoir une maison, personne ne devrait être dans la rue. On devrait pouvoir arriver à loger toute la population dans un pays où il peut faire jusqu’à -40 degrés pendant l’hiver et +40 pendant l’été.



On n’a sérieusement aucune excuse logique pour ne pas pouvoir le faire.



Mais est-ce que les gens dans la rue sont là parce qu’il nous manque des maisons pour se loger dans ce pays ?



Ou les gens sont dans la rue parce qu’ils ne peuvent pas s’offrir le luxe d’être protégés et de vivre dans une maison ?





C’est déjà assez étrange quand on parle des maisons, mais c’est encore plus bizarre si on commence à parler des loyers.



En réalité, ce ne sont pas des maisons qui manquent pour convenablement loger les personnes. On a beaucoup de maisons vides ou d’espaces qui peuvent très facilement devenir des habitations pour ceux qui en ont besoin, ici même à Montréal.



C’est le fait que les gens ont besoin de choisir s’ils préfèrent avoir un logement ou de la nourriture et des médicaments le mois prochain qu’ils se retrouvent dans la rue dans la plupart des cas.



Ce n’est pas parce qu’il manque des logements ni parce que le pays dans lequel ils vivent va mal ou est en réel danger quelconque.



C’est tout simplement parce qu’ils ne peuvent pas se l’offrir.



On marche dans la rue et on ignore complètement ceux qui nous demandent du change pour se nourrir ou pour dormir au chaud dans un refuge au moins une nuit par semaine.



On les juge, on leur fait honte, et on vide nos frustrations de la journée sur eux s’ils osent nous déranger pendant qu’on court comme des malades à notre travail très sérieux, mais probablement quand même très toxique pour nous tous.



Est-ce que tu réalises que la personne dans la rue n’a pas accès aux ressources de base pour combler ses besoins physiologiques, juste pour survivre au lendemain ?



Tu lui reproches violemment de ne pas savoir vivre, mais, très souvent, c’est toi-même qui contribues pour lui enlever le droit à la simple survie dans ce monde.



Dans la majorité des cas, c’est justement parce que tu gagnes ce que tu gagnes à ton travail qui ne nous sert probablement à rien collectivement que cette personne habite dans la rue.



Quand tu penses à ce que tu vas manger demain et où tu vas dormir pour ne pas geler jusqu’à la mort, tu ne peux pas être en mesure de travailler comme tout le monde ou de servir ta communauté d’une manière sécuritaire et cohérente pour personne.



Tu ne peux pas aider les autres à vivre ou à combler leurs besoins à eux si tu crains pour ta propre survie.



Tu ne peux pas lui demander de « travailler » comme du monde pour la communauté avant de le loger et nourrir de façon sécuritaire, au moins.





Pour toi, qui marches en cravate haute couture avec un sac d’épicerie « biologique » bien rempli, c’est probablement très difficile de t’imaginer ce que c’est que de vivre en permanence sans pouvoir répondre aux simples besoins de survie.



Tu ne sais probablement pas comment ton cerveau fonctionne quand il est privé des ressources de base pour répondre à tes besoins physiologiques.



Parce que si tu savais pour de vrai comment ça feel, tu ferais probablement en sorte qu’il n’y ait personne, ni dans ta communauté locale, ni dans ta communauté globale, qui n’ait rien à manger ce soir ou nulle part où dormir.



Tu réfléchirais avec ta propre tête pour réaliser que ce n’est pas normal qu’il y ait des humains qui ne méritent pas de survivre, sachant que notre Terre leur offre exactement les mêmes opportunités qu’à toi pour vivre dans l’abondance.



Mais toi, tu es full « bio » et en cravate, et eux, ils ont faim et sont dans le froid.



Toi, tu penses à quoi acheter d’inutile pour Noël à ta cousine que tu ne connais même pas, mais comme c’est une tradition de cadeaux, tu te sens « obligé ».



Mais eux se demandent s’ils vont encore survivre d’ici là.



Très souvent, tu es si « privilégié » au détriment des besoins physiologiques de base de ton propre peuple et de ta communauté locale. Je ne parle même pas des autres, en Afrique ou ailleurs.



Et peu importe qui tu es, tu fais une partie intégrale de ton propre peuple, et de l’ensemble de notre humanité si intimement partagée entre nous tous, peu importe quoi.



Si quelqu’un souffre véritablement, une partie de toi le ressent aussi, même si tu n’en es pas encore totalement conscient.



 
 
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